Jeunes Shinobis, montez dans l'estime et devenez de grands Kages !!! |
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| Kazuya | |
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+5Shield Asashi Neji Zabuza Kazuya 9 participants | Auteur | Message |
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Kazuya Etudiant
Nombre de messages : 26 Pays : Kiri Affinités : Les boule de riz *sait po me battre moa* Date d'inscription : 24/03/2006
| Sujet: Kazuya Ven 24 Mar - 7:28 | |
| Nom : Hattory
Prénom : Kazuya
Age: 14 ans
Surnom : Neko
Taille: 1,40 m
Poids : 40 kilos
Village caché : [n'importe la ou ils veulent bien de moi ]
Nindo : Le courage est une vertu mais la folie qui ressort du courage de certains serait-il source d’ennui ? .
Description physique :
Il mesure 1,40 m ses cheveux sont couleur de la nuit, ses yeux sont d’un brun presque noir. Neko possède une musculature d’airains et également une poigne d’acier du a son entraînement dans le désert. Toujours habillait de son long kimono noir ou pend à sa ceinture Kami no chi qui ne le quitte jamais. Ses traits sont assez durs, du moins quand on ne le connaît pas on pourrait penser de lui qu’il n’est pas capable d’exprimer le moindre geste pacifique. Ses mains sont abîmées et pourtant douce. Sa chevelure n’est jamais attachée flottant au grès des vents. Sa voix est froide est semble toujours agressive. Le ton est ferme est semble insensible. Un kanji orne son épaule droite. A son cou et accroché un lien de cuir ou pend un disque de Jade ayant appartenu à sa mère. Son menton arbore toujours une cicatrice allant jusqu'à son oeil..
caractère : Impassible face aux horreurs qu’il peut rencontrer, «Neko » garde un profond regret de ne pas avoir sauvé sa sœur. Il est d’un naturel bagarreur et rancunier essayant toujours d’être le meilleur dans ce qu’il entreprend. Intelligent et vif d’esprit, on ne peut le tromper sans en subir de lourde conséquence. Calme quand il le faut il peut déclencher de forte colère quand on le pousse à bout. Il n’aime pas faire confiance à n’importe qui, quand on acquis sa confiance et son amitié c’est pour la vie mais s’il est trompé il reprend tous et ne vous considérera plus que comme un insecte nuisible …
CARACTÉRISTIQUES PSYCHOLOGIQUES : Désir :Pouvoir se venger de son père en lui prouvant qu'il peut devenir un ninja exceptionnel Qualités : Loyal possédant un sang froid hors du commun, percevront. Défauts : N'extériorise jamais ces sentiments n'as pas d'amis et n'en cherche pas Il est. Cruel. Frustration : Ne pas avoir été assez fort pour recevoir l’amour paternel .Tempérament : Calme, froid un vrai glaçon qui peut se révéler volcanique en temps voulut. Peur de... : Ne pas être à la hauteur QI : Normal..
Historique :
C'est dans un petit village à côté de Suna ce soir là, dans un lieu retiré presque secret que je vis le jour. Lorsque ma mère ferma les yeux sur le monde, la dernière chose qu'elle vit ce fut mes deux grands yeux bien ouverts captant avidement tous les reflets chatoyants autour de nous, puisque que je n'avais encore que la vision des tout petits, celle où tout est permit de croire ; à la beauté du monde, a la loyauté des autres, à l'amour mérité !
L'air embaumait le jasmin et les cerisiers perdaient leurs pétales roses qui s'envolaient tels de minuscules papillons pour se perdre dans les cheveux des badauds. La pénombre baignée par le soleil couchant rougeoyait le paysage lui donnant des airs irréels. Lui, là. dehors, haute silhouette dont les larges épaules ployaient, savait déjà qu'à l'aube tout serait changé... Il était enfin là, le fils tant espéré, tant attendu mais a quel prix ! !
La douce et frêle Yoko n’avaient pas put résister à la tempête soudaine et violente infligée à ses entrailles par ce petit être volontaire décidé à se battre pour vivre …même au prix de la vie de sa mère. Les médecins appelés a son chevet pourtant au combien compétents n’avaient pu rien faire, même la magie antique et les prières aux Kamis ainsi qu’aux ancêtres n’avaient put enrayer la marche fatale du destin de Yoko.
C’est ainsi qu’avec mon premier vagissement s’éteignit la flamme de vie dans les yeux de ma mère. Ma sœur Miyu regardait sans vraiment comprendre tous ces adultes qui s’affairaient en silence pour hâter la délivrance, elle remarquait l’air grave qui avait subitement envahi le visage paternel et voyait également une chose tout à fait irréel les larmes affleurées aux joues du maître de maison, mais elle ne comprenait pas encore le grand malheur qui venait de les frappés de plein fouet. N’était-ce pas des mines réjouies et souriantes qui se devaient d’accueillir le mystère de la vie ?
Quand un grand cri déchira la pénombre, elle sut au pincement de son petit cœur qu’un grand malheur venait d’arriver. C’est ainsi qu’elle reçut l’enfant dans ses bras, ce cadeau, cet encombrant paquet entortillé et vagissant. Moi : Kazuya son frère !
L’air était doux, les senteurs d’encens embaumaient l’autel devant lequel était agenouillée mon père. Il priait, ayant allumé les bâtonnets et déposé les offrandes devant les photos de ma mère au doux visage souriant. Là, sûr la petite butte au loin, un attroupement de villageois qui l’accompagnait dans sa dernière demeure. Devant eux, une gamine qui le regard farouche serrait jalousement sûr sa menue poitrine, un nourrisson endormi. Elle resta jusqu’à la fin, sans une larme, sans un mot, jusqu’à ce que la dernière pincée de terre ait recouvert le corps endormi pour l’éternité de leur mère.
Alors elle marcha en parlant doucement au bambin qui dormait, elle parla longtemps, sa petite silhouette se détachant en clair-obscur sûr le soleil rougeoyant. Quant elle regagna leur petit pavillon, elle était certaine de lui avoir tous dit, tout appris de ce qu’il devait savoir sûr leur mère, pour elle aucun doute, cette créature qui criait devait posséder un pouvoir immense sûr la mort pou avoir vaincu si petit cet astre noir qui en un instant avait prit sa maman.
Et la vie recommença cependant de façon différente. Son père si attentif autrefois se détournait de sa progéniture, de toute la marche de la maisonnée pour palabrer de longue heure avec pour interlocuteur… du saké. Ses repas revenait intact, même l’heure du thé pourtant très importante au sein de leur foyer lui était à présent tout à fait égale. Il en oublia jusqu’à son intense entraînement, croupissant, ça et là devant son éternel compagnon, qu’il avalait trait sûr trait.
Quant à moi je m’abreuvait goulûment de tout ce qui était vie, je n’en finissait pas de vouloir et encore vouloir. Ma sœur me servit de mère, d’exemple, de bouclier aussi face aux innombrables colères monstrueuse que moi seule semblait parfois déclencher chez notre père. Il négligea mon éducation à tel point que c’est un vieux ninja qui m’inculqua le premier savoir et les premiers balbutiements de la science ninja.
Miyu compensait par son amour et sa douceur la laideur apocalyptique de notre vie monotone et brutale. Pendant de longues années, elle subit tous les outrages, tous les affronts, les vicissitudes infligées par c’est être hargneux et plein de haine qu’était devenu notre père. Elle porte stoïquement sûr ses frêles épaules la charge de toute la maisonnée.
Elle fut le pilier central de mon éducation et forgea mon caractère et ma force avec ses petites mains fragile mais combien aimante. Elle me sacrifia tout son confort, ses loisirs, ses entraînements grâce à sa technique incroyable, elle me donna la souplesse d’un chat, la rage d’un lion, la force du tigre. Plus le temps passait et plus le petit bonhomme que j’était grandissait en force, courage et vitalité que j’avais d’ailleurs débordante. Miyu dût bien souvent tempérer le caractère ombrageux de ce petit frère indocile, belliqueux et fier… si fier déjà du haut de ses cinq printemps.
Elle courbait l’échine sous le joug du tyran que nous avions comme père, combien elle regrettait la douce Yoko notre mère, elle qui savait si bien dompter les colères monstrueuses de Hanzo Hattory, l’homme qu’elle avait épouser et qui avait partager son amour ainsi que son désir d’avoir un fils après la petite Miyu. Toutes ces années de bonheur paraissait à jamais effacé dans la mémoire du terrible Hanzo, qui n’avait désormais qu’une vue très complexe du véritable devoir d’un père envers ses enfants.
Il se vautrait dans la plus grande concupiscence, infligeant à Miyu et a moi-même, la vue de ses exubérances, ramenant sur sa couche d’innombrables conquêtes qui toujours repartaient ! Sa violence se déchaîner de plus en plus souvent à mon encontre et Miyu savait qu’un jour si elle n’y prenait garde cela finirait très mal.
Un soir il revint complètement abruti par le mauvais alcool, saccagea l’autel les offrandes, mi presque le feu a la maison avec les bâtons d’encens et nous vîmes, ô infâme sacrilège, le portrait de notre mère se dissoudre dans les flammes. Son beau visage souriant se tordit sous l’effet de la chaleur puis disparu comme aspiré par le noir. Lui, effondré ronflait tout son soûl au milieu du déluge. Alors , la courageuse Miyu le visage dévorait par les larmes mit dans un baluchon ses maigres effets ainsi que les miens , m’accrocha sur son dos et décida de nous éloigner à tous jamais de cette être immonde qu’il leur servait de père.
La jeune fille savait qu’elle risquait notre vie mais aussi elle espérait pouvoir s’éloigner suffisamment pour qu’il n’aie aucune envie de nous retrouver. Elle referma sur les décombres, les portes du pavillon et s’en fût avec moi comme si de rien n’était. Les autres habituaient au scène brutale et répétés qui se jouait en notre demeure ne s’étonnèrent pas de nous voir nous diriger vers la butte sachant que bien souvent dans ce cas là Miyu m’emmenait nous recueillir sur la tombe de notre mère .
Mais, lorsqu’elle fût caché hors de vue des habitants du village, elle bifurqua brusquement et partit droit vers la forêt Shi No Kamis , elle savait que personne n’irais penser à nous chercher là bas, la forêt n’était elle pas celle des esprits de la mort ? Après avoir longuement marché , elle décida de s’arrêter pour se restaurer. Nous mangeâmes assit, serré l’un contre l’autre, jetant des regard inquiet autour de nous, épiant le silence épais de la végétation sombre qui nous entourait.
Elle n’avait maintenant plus aucun moyen de vérifier l’heure mais savait que l’alerte devait être donnée. Rien ne pouvait la faire reculer car retourner en arrière équivaudrait à signer son arrêt de mort ! Tel était le châtiment réservé à ceux qui enfreignait la loi du Dojo Hattory . En voulant me soustraire à l’implacable Hanzo, Miyu m’avait tout sacrifié, son avenir, son honneur et plus que toute autre chose : sa vie ! Etre rejoins voulait dire être anéantie, c’est pourquoi elle ne s’octroya qu’un bref moment de repos durant lequel nous partageâmes notre frugal repas.
Ô combien me parurent excellente ces boulettes de riz que je dévorais d’un bel appétit . Miyu quand a elle mangeait posément, par petite bouchées, tous les sens au aguets . Lorsque nous fumes restaurer, elle me pressa de reprendre la marche. Nous allâmes jusqu'à ce que nos pieds ne puissent plus nous soutenir, jusqu'à ce que nos yeux ne puissent plus rien distingués, jusqu'à ce que nos maigres forces ne puissent plus rien pour nous. Alors elle s’effondra sur les genoux me serrant convulsivement contre elle, grelottant dans le noir qui nous entourés de son manteau sombre et inquiétant .
Son pauvre sourire me rassurait cependant n’était elle pas ma grande sœur ? Celle par qui tous advenait ? Celle qui faisait tous ? Celle qui…m’aimais tant ? Son regard ambré combien débordant d’amour m’enveloppait tout entier et malgré toute son anxiété encore elle me rassérénait . Nous dormîmes l’un contre l’autre, niché au creux d’une immense racine. Pour moi elle avait tout oublier, sa crainte de la forêt, sa peur de notre père, sa qualité de femme soumise, son éducation de Kunoichi. Je dormit du sommeil le plus réparateur qui soit, lorsque j’ouvrit les yeux ces encore son sourire qui baignit mon réveil.
Doucement elle m’aida à me redresser, me fit manger et boire puis m’accrochant à son dos se remit en marche . Elle semblait ne plus vouloir s’arrêter comme mue soudain par un étrange présentement elle marcha, marcha encore jusqu’au bord d l’épuisement mais toujours elle allait faisant front courageusement. Ces pieds chaussés de fines sandales étaient écorchées et saignaient mais elle n’y prenait pas garde, seul comptait pour elle de mettre autant que possible d espace entre nous et Hanzo car tout au fond d’elle-même, elle savait pertinemment qu’il avait du se rendre compte de son subterfuge et que sa rage devait être décuplée. Il devais être lancé à notre recherche dans la bonne direction et sa force n’avait rien de comparable avec la faible endurance qu’elle-même possédait .
Si elle avait était seules déjà elle aurais été hors de sa portée , perdue dans une villes ou jamais il n’osait osé s’aventurer à découvert, ou elle aurais eut sa chance de disparaître pour toujours. Mais voilà elle n’était pas seule, elle m’avait moi , petit boulet accroché a son dos et c’est ce trésor la et seulement celui la qu’elle voulait mettre en sécurité en dépit de tout ! J’entendais son souffle devenir rauque sous l’effort mais lorsque je voulais lui parler, elle m’intimer d’un geste le silence et tout les sens en alerte plongeait droit devant, fendant le couvert imperturbablement. Alors que mon estomac criait famine depuis un long moment, Miyu décida enfin de stoppé. Assit à même le sol, nous mangeâmes encore des boules de riz mais quel riz ! !
Miyu était une incomparable cuisinière cette fille qui était ma sœur possédait d’innombrable atouts pour faire une épouse parfaite. A qu’il serait heureux celui qui deviendrais son époux ! ! Malgré l’existence rude, sévère qu’elle avait dût mener auprès de notre père après le décès de Yoko, Miyu était devenue une jeune fille accomplie tant par son courage , sa volonté inflexible que par l’amour immodérée qu’elle me vouait . Miyu avait su développée une incomparable féminité toute de tendresse, de délicatesse paraît à Ses poupées de porcelaine si fragile en apparence combien solide cependant . Tout en elle respirait l’élégance, la race et ceux malgré le complet désintéressement d’Hanzo quant à son éducation. Miyu avait suivi l’enseignement des autres rare jeune qu’elle avait le droit de côtoyer, toute de parfaite maîtresse de maison, choisie pour leur qualité tend physique que morale par le clan ninja.
Miyu était très fière mais son caractère n’avait d’égale que celui de notre père. Audacieuse, foret de son tous jeune savoir elle affrontait pied à pied ce père colérique et alcoolique. Jamais elle ne cédait un pouce de terrain acquis ce qui lui valait de sacrés rudes raclées dont elle se relever encore plus fière, plus têtu, plus haineuse. Aucune des vexations infligées ne semblait avoir de prise sûr elle. Elle accomplissait les tâches et les corvées toujours avec ce petit air fragile tranquille qui la caractérisait si bien. Sa loyauté au clan , son courage, sa ténacité faisait qu’elle inspirait même le respect à certain. Déjà plusieurs prétendant versaient vers elle des regards concupiscents et tâtait le terrain auprès de notre bourreau qui lui ne s’apercevait de rien, entre ses vapeurs et ses nuages de sakés. Bref Miyu était un parti très prisé mais elle faisait mine de ne rien voir car répondre positivement à l’un ou l’autre des prétendant équivaudrait à partir du toit paternelle… sans moi.
Hors tout son univers était accès sur moi. Avec elle je participait à tous au pauvre loisir que nous avions, à la compréhension du difficile code qu’était le nôtre. Elle m’inculquait tous ce que ma mère aurait dû, elle suppléait au manquement paternelle à prendre en charge le petit garçon volontaire que déjà j’était. Elle avait mit en moi tous ses espoirs d’un avenir meilleur. Décidée coûte que coûte à parfaire mon éducation et cela parfois même frisait le perfectionnisme .Aussi avait elle mûrit longtemps le projet de notre évasion, donnât le change autour de nous
Dernière édition par le Ven 24 Mar - 7:46, édité 1 fois | |
| | | Kazuya Etudiant
Nombre de messages : 26 Pays : Kiri Affinités : Les boule de riz *sait po me battre moa* Date d'inscription : 24/03/2006
| Sujet: Re: Kazuya Ven 24 Mar - 7:31 | |
| . Qui aurait pu soupçonner cette jeune personne toujours affairait de planifier pareil trahison envers son clan.
Les buissons me paraissaient de plus en plus touffu et sombre , je fixait leur feuillage me demandant quelle fantôme, quelle horrible chose pourrait en débouler .Miyu d’une main douce et aérienne me caressa la joue faisant tomber sur le sol quelque grain de riz coulait autour de ma bouche . Puis soudain elle en ramassa jusqu’au dernier grain , les rassemblant dans son baluchon, je regardait ma sœur qui agissait curieusement, pourquoi prendre la peine de ramasser ses grains alors que bientôt il se confondrait avec la terre et l’humus du sous bois ?
Sans explication, elle donna l’ordre de reprendre notre marche prudente ,toujours à l’écoute elle louvoyait sans arrêt parfois repasser au même endroit pour mieux repartir. Puis nous arrivâmes au bord d’un petit cour d’eau courant parmi la futaie ombrée. Elle nous accorda un plus long repos , me baignant le visage les pied et les mains de cette eau si fraîche. Elle prit le temps de nouer autour de ses propres pieds des morceaux de bandage et de toiles qui formèrent une sorte de bottine protégeant sa peau fine des épines parfois acérée qui jonchait notre route. Elle paraissait plus à l’aise ne cherchant pas à reprendre le chemin de Suite , elle me sourit , me serra tous contre son cœur , me laissant assis entre ses cuisses musclées , elle natta ses long cheveux noire avec des gestes de déesse. Je ne perdait de vue aucun de ses mouvement gracile cherchant dans son regard sombre l’assurance d’être en sécurité. Pourtant je la sentait aux aguets des moindres bruits, du moindre mouvement autour de nous. Enfin , elle se redressa, m’accrocha dans son dos et repris son chemin. Elle ne fendait plus la futaie droit devant elle, mais semblait prendre plus le temps de s’orienter, son souffle léger me parvenait , me berçait si bien quand fin de compte mes yeux se fermèrent d’un lourd sommeil. Qu’avais j’à craindre bercé par sa lente progression et le rythme de sa respiration, bien au chaud nichée dans sa chaleur ?
Mais la jeune fille gardait en tête la vélocité que pouvait prendre leur poursuivant aussi minutieusement elle jalonnait son parcoure de faux indice. Ainsi les quelques grains de riz ramassé se vire t’il déposé au bout d’un grand creux plongeant dans la terre. Le terrain de cette forêt était pas mal accidentée , si elle faisait très attention sans doute arriverait elle à semer leur poursuivant. Je dormais quant à moi à point fermé ne soupçonnant pas le moins du monde ce qui se tramait.
Hanzo ne se réveilla pourtant pas de suite cuvant tous son soûl, ronflant haut et fort. Ce fût son ami de beuverie qui sans doute ne sachant pas lever le coude seule, vînt à sa demeure. Inquiet de ne pas recevoir de réponse, il osa s’aventurer après avoir enlevés ses tondues sur le seuil, plus avant dans l’intimité de la maison. Seule le silence régnait en maître. Une care odeur de roussi lui chatouilla les narines, lui confirmant qu’il y avait bien quelqu’un à l’intérieur. Faisant coulisser le panneau léger qui masquait l’entrée, le spectacle qu’il découvrit, fit qu’il ameuta tous le village ameutait par ses cris. Allongée face contre terre Hanzo gisait les bras en croix au milieu d’un amas de détritus et de cendre. Ravagée l’autel de famille ! Détruite l’offrande de vie et d’harmonie !Piétinez le sanctuaire !
Tous d’abord, il crût que le maître de maison était mort. Il conclu à un assassina en bonne édut forme aussi se mit il a chercher avec frénésie dans les autres pièce et le jardin après les corps de ma sœur et de moi-même. Il se rendit enfin à l’évidence, quelque chose d’anormal se passait sans aucun doute mais cela ne venait pas d’un autre clan ni d’une attaque quelconque . D’une main tremblante il retourna le corps d’Hanzo pensant découvrir celui ci mutilé, gravement touché, et ce vit contempler un visage rougeauds, hagard, bouffis de mauvais sommeil. Le secouant avec ménagement, car il craignait son mauvais caractère, il tenta de le faire reprendre ses esprits. Rien ni fi, plongeait dans un coma des plus bénéfique l’autre ronflait bruyamment, profondément.
Les villageois sentir auprès des femmes de Miyu ainsi que de moi mais aucune ne pur les renseigner. Bien sûr , elle avait vu ma sœur vaquait à mes occupation, bien sûr elle avait vu le petit courir derrière sa sœur en sautillant mais à part ses différent témoignage rien ni personne ne pouvait savoir ou les enfant se trouvait . D’aucun pensèrent que Miyu flanquait comme à l’habitude du moucheron était allée un membre de la famille de leur mère dans un autre village ainsi qu’elle le faisait parfois avec l’accord paternelle. Sans doute Hanzo trop ivre pour pouvoir contrôler ses gestes, c’était il tous simplement effondrée entraînant dans sa chute tous ce qui se trouvait autour de lui. Il installèrent du mieux qu’il pur l’ivrogne sur son matelas et s’en allèrent riant sous cape de son malheur.
Il dormit deux jours et deux nuits d’affilées, lorsqu’il ouvrit les yeux à la tombée du crépuscule du deuxième jours, il était tous ragaillardi, son estomac criant famine mais beaucoup plus dangereux car sobre et clair e, très clair d’idée. Fulminant, pestant contre cette incapable de fille qui aurait dût prévoir de l’alimenter de suite se faisait attendre bizarrement. Il appela, hélant grossièrement comme à l’habitude la jeune fille. Rien, pas de réponse, rien que le silence et le vent qui balançait doucement les cerisiers en fleurs. Le rustre se mit debout, procéda à de rapide ablution puis se dirigea vers le secteur de la maison réservé à ses enfants c’est à dire le plus loin possible de ses propres appartements.
Ce silence habituelle commençait à l’agacer sérieusement aussi poussa t’il d’une main impatiente le léger panneau de papier qui cloisonnait tout l’intérieur de la pièce, aucune rumeur, aucune lumière, aucun son ne parvînt jusqu’à lui. Une grande ride barrant son haut front, les yeux étincelant de contrariété il pensa en son fort intérieur à la raclée bien senti qu’il contait mettre à cette inutile qu’était sa fille. D’un geste il balaya les maigre ustensile de cuisine à sa portée les flanquant au sol. Tant mieux, elle n’aurait plus qu’à tous ranger, pour punition. Un peu de riz moisi attira son attention. Comment ? Comment cela était il possible, il savait le grand soin qu’apportait à leur intérieur la jeune Miyu malgré les lourdes charges qui pesait journellement sur ses frêles épaules . Il saisit le bol le huma et dût se rendre à l’évidence…. Quelques choses clochait aujourd’hui en ces lieux .Il en aurait le cœur net.
Il sortit se dirigeant vers l’estaminet de son comparse et lorsqu’il pénétra à l’intérieur ce senti tous gaillard des odeurs alléchantes qu’il lui chatouillait les narines , il s’assit réclamant à grand cris pitance et boisson. Le tenancier le servit un large sourire barrant son visage. Lui demanda si tout allait bien, s’excusa bien bas de son intrusion en la demeure lui assurant avoir fait diligence quant au bien de celui-ci. La tête baissé dans le bol dont il avalait goulûment le contenu, Hanzo ne perdait aucune parole de son interlocuteur, son repas terminé, il avala de longue rasade de bière fraîche puis reposant son gobelet il réclama un pichet de saké. Aussitôt servi il ingurgita rapidement le liquide brûlant puis levant les yeux, il fixa de son regard magnétique les yeux de son vis à vis. L’homme un peu décontenancé ne savait plus qu’elle attitude adopté dansant d’un pied à l’autre. Il se sentait de plus en plus mal à l’aise. Lorsque s’éleva la voie gutturale d’Hanzo demandant ou était sa fille. L’autre l’air étonné lui rétorqua qu’il ignorait où la petite pouvais se cacher… le pére se lança a la recherche de ces enfants fou de rage il rels ratrapppa et et finit par tué la fille mais abendonna le bébé qui fut receuillit par un vieu ronin qui l'eleva puis un jour il fut envoyé pour devenir ninja ...
[salut tt le monde bon la fin est moche surtout pour ceux qui aurons le couragede lire XD ... ] | |
| | | Zabuza Mizukage
Nombre de messages : 523 Age : 31 Pays : Kiri No Kuni Clan/Bijuu : Nara (La manipulation des ombres) Affinités : Suiton Date d'inscription : 14/02/2006
| | | | Neji Kazekage
Nombre de messages : 760 Pays : Suna Clan/Bijuu : Hyûga Affinités : le Byakugan, mon éventail géant avec 3 soleils et la Catapulte ! Date d'inscription : 28/01/2006
| Sujet: Re: Kazuya Ven 24 Mar - 12:17 | |
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| | | Kazuya Etudiant
Nombre de messages : 26 Pays : Kiri Affinités : Les boule de riz *sait po me battre moa* Date d'inscription : 24/03/2006
| Sujet: Re: Kazuya Ven 24 Mar - 16:35 | |
| Merci beaucoup de votre acceuil ^^
Welcommme Kazuya !!!!
arf..c'est moi bon je retourne prendre mes pilules vertes et rouges que la madame en blanc me donne avec ma chemise a manche longue qui s'attache dans le dos ^^'''''''Juste pou précisio je suis un noob sur naruto ^^ | |
| | | Asashi Shodaime Hokage
Nombre de messages : 2379 Age : 33 Pays : Kumo Clan/Bijuu : Raijuu Affinités : Raiton/Fûton Date d'inscription : 07/01/2006
PV: (2400/2400)
| Sujet: Re: Kazuya Ven 24 Mar - 16:47 | |
| bienvenue dis a quel village tu veux aller, il y a de la place partout | |
| | | Kazuya Etudiant
Nombre de messages : 26 Pays : Kiri Affinités : Les boule de riz *sait po me battre moa* Date d'inscription : 24/03/2006
| Sujet: Re: Kazuya Ven 24 Mar - 18:36 | |
| Ben sa m'importe peu que se soit Kumo oto konoha ou les autres je m'en fiche un peu jsuis la pour rp par pour choisir un village ^^ je laisse le choix au admin tout puissant | |
| | | Asashi Shodaime Hokage
Nombre de messages : 2379 Age : 33 Pays : Kumo Clan/Bijuu : Raijuu Affinités : Raiton/Fûton Date d'inscription : 07/01/2006
PV: (2400/2400)
| Sujet: Re: Kazuya Ven 24 Mar - 18:53 | |
| étant un "admin tut puissant", je te met à Kiri. | |
| | | Shield Raikage
Nombre de messages : 1393 Pays : Kumo Clan/Bijuu : voir ma signature Affinités : Lame ainsi qu'un Doujutsu hérité de son père Date d'inscription : 08/01/2006
| Sujet: Re: Kazuya Ven 24 Mar - 19:03 | |
| Arf ! C'est de l'abus de "Admin tout puissantisme" ce que tu nous fait là XD ! L'avait dit Kumo en premier >< !! XD ! | |
| | | Itachi Chef Akatsuki
Nombre de messages : 1341 Pays : Akatsuki Clan/Bijuu : Takamaru,nunchaku,surinken tous ,sabre en faite tous plus,poison et voila Affinités : Taijutsu,Sharingan Date d'inscription : 07/01/2006
PV: (9999999999/9999999999)
| Sujet: Re: Kazuya Ven 24 Mar - 19:35 | |
| | |
| | | Gaara Uchiwa Chuunin & Chargé de Missions
Nombre de messages : 591 Pays : Kumo No Kuni Clan/Bijuu : Uchiwa Affinités : KATON Date d'inscription : 22/02/2006
| | | | Itaïsuke Tsuchikage
Nombre de messages : 680 Pays : Iwa Clan/Bijuu : Uchiwa Affinités : DOTON Date d'inscription : 01/03/2006
| Sujet: Re: Kazuya Sam 25 Mar - 16:07 | |
| Ta du te décarcasser pour tout écrire et nous : ON LIT PAS XD
Bienvenue | |
| | | Ryuji Higure Akatsuki
Nombre de messages : 1357 Age : 33 Pays : Akatsuki Clan/Bijuu : Kaguya Affinités : Genjutsu Date d'inscription : 18/01/2006
| Sujet: Re: Kazuya Sam 25 Mar - 16:11 | |
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| | | Kazuya Etudiant
Nombre de messages : 26 Pays : Kiri Affinités : Les boule de riz *sait po me battre moa* Date d'inscription : 24/03/2006
| Sujet: Re: Kazuya Sam 25 Mar - 16:26 | |
| Mici de vos acceuil ^^ juste une question de noob ^^'''' c'est qui qui s'occupede Kiri ?? [/i] | |
| | | Ryuji Higure Akatsuki
Nombre de messages : 1357 Age : 33 Pays : Akatsuki Clan/Bijuu : Kaguya Affinités : Genjutsu Date d'inscription : 18/01/2006
| Sujet: Re: Kazuya Sam 25 Mar - 16:27 | |
| personne pour l'intant XD | |
| | | Itaïsuke Tsuchikage
Nombre de messages : 680 Pays : Iwa Clan/Bijuu : Uchiwa Affinités : DOTON Date d'inscription : 01/03/2006
| Sujet: Re: Kazuya Sam 25 Mar - 16:27 | |
| Le 1er digne d'être Mizukage :p | |
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| Sujet: Re: Kazuya | |
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| | | | Kazuya | |
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